Thomas Fersen - Louise [Paroles (Lyrics)]
Je viens de faire un article sur la discographie de Thomas Fersen et, du coup, je voulais vous faire découvrir combien ses textes sont bien écrits.
Je pensais vous montrer le texte de L'escalier ou de La chauve-souris par exemple mais finalement je vais en publier un autre. En effet, pendant que j'écrivais l'article, je discutais sur msn avec une fille que je ne connais pas depuis longtemps mais pour qui je ressens pas mal de sympathie. Cette jeune fille venait en fait de me dire son prénom en me disant qu'elle ne l'aimait pas trop et je lui ai parlé d'une chanson de Thomas Fersen.
Alors, Louise, déjà ton prénom est joli et ensuite c'est le titre d'une chanson magnifique dont voici le texte :
Thomas Fersen - Louise
Tes lèvres, Louise,
Sont des portes d'église
Où j'entre le matin,
Le chapeau à la main.
Tes lèvres, Louise,
Penses-tu ce qu'elles me disent,
Ou c'est du caraco,
Le rubis d'un mégot?
Après tout, peu importe
Où j'allume ma clope,
Aux premiers feux du jour
Ou aux foudres de l'amour,
Si les miennes se grisent
À tes lèvres, Louise
Sur tes lèvres, Louise,
Les miennes sont assises.
Je ne décolle plus les fesses
De ce banc de messe.
Tes lèvres, Louise,
Crois-tu ce qu'elles me disent,
Ou cette basilique
Est un kiosque à musique?
Après tout peu importe
Où j'allume ma clope,
Si ce n'est pas l'amour,
Ce sont les alentours
Si les miennes se grisent
À tes lèvres, Louise.
Ta lettre, Louise,
Est arrivée tantôt.
Des tes lèvres cerise,
Elles portent le sceau.
Tes lèvres, Louise,
Me donnent congé.
Ma rage s'épuise
Sur mes ongles rongés.
Paris te contient
Et je suis jaloux comme un chien.
Je reviens gratter à ta porte.
Tes lèvres sont closes.
Louise, tu m'envoies sur les roses,
Dis-moi quelque chose...
Rien.
Louise je ne veux plus
Que tu passes la nuit
En bas de l'avenue,
Sous un parapluie.
Tes lèvres, Louise,
Sont des portes d'église
Où j'entre le matin,
Le chapeau à la main.
Tes lèvres, Louise,
Penses-tu ce qu'elles me disent,
Ou c'est du caraco,
Le rubis d'un mégot?
Après tout, peu importe
Où j'allume ma clope,
Aux premiers feux du jour
Ou aux foudres de l'amour,
Si les miennes se grisent
À tes lèvres, Louise
Sur tes lèvres, Louise,
Les miennes sont assises.
Je ne décolle plus les fesses
De ce banc de messe.
Tes lèvres, Louise,
Crois-tu ce qu'elles me disent,
Ou cette basilique
Est un kiosque à musique?
Après tout peu importe
Où j'allume ma clope,
Si ce n'est pas l'amour,
Ce sont les alentours
Si les miennes se grisent
À tes lèvres, Louise.
Ta lettre, Louise,
Est arrivée tantôt.
Des tes lèvres cerise,
Elles portent le sceau.
Tes lèvres, Louise,
Me donnent congé.
Ma rage s'épuise
Sur mes ongles rongés.
Paris te contient
Et je suis jaloux comme un chien.
Je reviens gratter à ta porte.
Tes lèvres sont closes.
Louise, tu m'envoies sur les roses,
Dis-moi quelque chose...
Rien.
Louise je ne veux plus
Que tu passes la nuit
En bas de l'avenue,
Sous un parapluie.
Paroles de la chanson : Thomas Fersen
Bon bah moi je vais me coucher et je rajouterai ce titre demain dans la liste des chansons dont les paroles sont disponibles sur ce site.